Lacan, Oury et Unger Mylène
et une pensée à Oury, psychanalysé par Lacan
la psychothérapie institutionnelle que Oury met en place en la comprenant dès son premier poste de médecin psychiatre et qu'il instaure sur La Borde, avec tout le mouvement de l'anti psychiatrie, la pensée de Deleuze et des psychiatres anti psychiatrie classique.
C'est cela Le Lieu Thérapeutique que j'ai créee en 2011 à mon domicile, un vaste lieu de 5000 ares qui m'a permis de recevoir 3 patient(e)s simultanément en hébergements, chacun(e) ayant sa place personnelle de vie, son foyer (le feu), sa cuisine, et sa thérapie adaptée à ses besoins et désirs.
La jeune SDF arrive avec ses 2 chiennes, bières à la main qu'elle débute dès les 8 heures du matin. Je vais la voir au lever, un café à la main et nous discutons. La prise en charge pour celle-ci c'est pour l'addiction boisson, la méthadone étant déjà ordonnancée pour le sevrage de la drogue dure. Partie à l'adolescence de la maison de parents aisés sur La Rochelle, elle a choisi la rue comme elle n'a pas choisi ce vécu.
Avec chaque patient(e) j'établis après la confiance qui s'est nouée soit celle qui m'est faite d'accueillir, d'écouter, de comprendre et d'aider.
Avec elle, c'est le partage de moments où elle doit apprendre à planter sa tente, préparer le feu du soir, se faire à manger et s'abstraire de la vie de la rue.
Le Lieu Thérapeutique a été conçu peu loin du village (pour les courses, pour le papier à rouler et le tabac, et ils/elle y vont à pied). Le fait que Niort soit à 15 kilomètres est un choix et ils-elle le savent, coupé(e)s du milieu de la rue, du groupe qui est comme eux et elles, en grande difficulté.
L' Art Thérapie s'installe comme les entretiens psychanalytiques qui font partie de l'admission sur mon Lieu Thérapeutique ; c'est moi qui scande les moments d'entretien. Rien n'est obligatoire d'emblée, le Temps est avec nous.
Elle a choisi une des disciplines que je propose, la sculpture sur bois. Je lui propose de dessiner ce qu'elle veut graver. Mon Lieu Thérapeutique a été choisi avec un grand bois, proche de la dimension d'une petite forêt où certain(e)s vont se réfugier et visiter l'espace du bois comme leur espace psychique. j'ai installé à hauteur surplombant le Lieu un banc en pierre. Je prépare tous les ans des troncs d'arbres droits et forts que je coupe moi-même à la tronçonneuse et que je descends sur la terrasse chaque année pour les faire sêcher, pour la sculpture l'année suivante. Elle choisit un tronc de quatre mètres et je souris devant l'audace ; je lui conseille de dessiner le motif puis lui donnant une scie lui dit de couper à la dimension qu'elle veut, son bois pour la sculpture.
Les entretiens se déroulent en même temps que cette vie où le Temps s'est arrêté pour eux et elle dans cet espace qui leur est proposé et offert. Elle va d'elle-même trouver le chemin de l'art thérapie, creuser avec des gouges de menuisier, faire des entailles, et prendre goût au dessin reproduit avec les outils. La boisson disparaît peu à peu, ce n'est plus le seul plaisir et cela ne devient plus nécessaire pour vivre, pour survivre. Je l'encourage et je la félicite ; elle est heureuse. Le soir venu, je l'accompagne à sa tente, l'aide à allumer le feu entouré d'un haut muret de pierres pour éviter tout problème ; elle me raconte..... ses parents, sa fuite, et puis la rue avec les autres, ou seule. Elle me raconte le viol dans la rue, une nuit, à vingt et un ans, les chiennes fuyant devant l'homme violent. Voilà, elle l'a enfin dit. Un silence puis je le souhaite bonne nuit.
Le psychisme abîmé, souffrant, torturé amène ces gens chez moi, et sur Niort, ils et elles le savent. Je reçois des malades mentaux qui veulent parler, qui veulent trouver cet espace naturel où l'on peut marcher, parler, aider au jardin, parcourir la forêt, se taire et se recueillir en soi-même dans le calme. Parfois, ce sont les instruments de musique que je sors de mon antre de thérapeute et là c'est le plaisir qui prend la place comme pour certain(e)s de s'approprier le chant, la musique, le son. La rue est loin, très loin. La solitude aussi. L'addiction également. Pour la maladie mentale, c'est re découvrir un espace où la thérapeute est là mais proche, un sujet qui parle à un sujet, mais qui accompagne sans faire de mal. Le jeune schizophrène aime les fleurs, il vient en vélo de Niort quand il en a envie ; il veut m'aider au jardin. Il veut planter, il veut s'occuper des arbres. Il est présent au monde hors sa maladie dont là il n'a plus le temps de parler, plus de temps de penser ; son espace est dans l'espace thérapeutique et il se sent bien.
Le Lieu Thérapeutique que j'ai créee est devenu aussi un lieu de rupture avec le monde social, avec le monde de la rue, avec le monde de la psychiatrie classique et institutionnel. Nous en parlons ensemble très facilement ; ils et elles ne renient pas le suivi avec le/la médecin psychiatre niortais(e) mais me disent leur plaisir d'avoir une thérapeute qui leur donne le Temps, leur temps et qui est là pour eux et elles, vingt-quatre heures sur vingt-quatre. Le Lieu Thérapeutique leur appartient et c'est bien notre lien à Oury et à moi, de cette Liberté Soignante qu'on sait tous les deux si généreusement bienveillante et agissante en soins psychiques.
Les espèces non humaines et les chien(ne)s des enfants de la rue se chamaillent et Gaspard participe à tout cela. La vie est là, un esprit aussi qui permet quand plusieurs sont présent(e)s de partager un repas, de s'aider sur un espace artistique, et ils-elles savent que c'est libre, ouvert et rien n'est obligatoire.
La télévision n'existe pas, l'ordinateur non plus. Je propose à chacun(e) de s'inscrire à la médiathèque du village et de revenir sur le Lieu avec les livres, les revues, les bandes dessinées. Il se passe un intérêt redécouvert, un plaisir et pour certain(e)s de renouer avec l'école de l'enfance ; des moments lucides où il peut parler "et si j'avais un métier".
Sur mon Lieu Thérapeutique, venue aussi de mes expériences sur des lieux éducatifs agrées par le Ministère de la Justice pour des ordonnances 45, mineurs délinquants parisiens, je pense demander un agrément Ministère de la Santé décentralisé. Beaucoup sinon la majorité ne me paie jamais les séances mais s'arrangent pour échanger un service. Elle, accueillie et ravie de sa sculpture réalisée entièrement et que j'ai toujours, sans m'en parler, va désherber un pan de coteau. J'assiste à ses efforts en me déplaçant voir d'autres patient(e)s, le dos courbé de cette jeune femme tatouée, perçings multiples, vêtements de la ville-rue et je me dis qu'elle aura remuer dans son psychisme, toute cette terre comme tout son vécu. Elle va mieux, elle boit moins, elle sourit plus et quand elle partira, me dira : "je suis contente de t'avoir connue".
C'est une de mes belles réalisations humaines de soins et des rencontres riches où ces personnes qui sont mes patient(e)s ont aussi beaucoup à apprendre aux autres. Le soin psychique tel que Oury et moi la pratiquons, c'est dans une dimension temporel et d'espace où les êtres se rencontrent et où la Soignante fait corps avec le Lieu, avec la dimension du Soin, et qu'elle donne la Place à ces personnes de s'y installer. Le Temps.
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Lacan qui écrit sur son tableau noir "d'un discours qui ne serait pas du semblable",
Je ne suis issue que de la Psychanalyse et très tôt dans ma vie. C'est par la psychanalyse, avec la psychanalyse que j'ai moi-même grandi, compris, aimé, joué, travaillé. La Psychanalyse comme je l'entends et je ne suis pas la seule, c'est la Liberté dans le psychisme, à travers le psychisme, au-delà de toutes contingences. C'est puiser loin, si loin, dans l'espace psychisme, sans faire mal, sans violence, et laisser courir ce qui vient à se dire, à se traduire, à s'exprimer. Lui, malade mental, il ne scande plus un discours plaqué, une attitude qu'il a prise comme beaucoup de malades mentaux qui ont été interné(e)s d'une sorte de ré éducation où on leur a expliqué leur maladie et que c'en est devenue une stéréotypie ; avec moi qui parle ou avec moi qui me tait car il faut aussi savoir se taire pour que le/la patiente s'installe dans la thérapie, il ré apprend à être en dehors du cadre dans lequel il a été mis.
Lacan ne parlait pas. Lacan utilisait une langue de poète, un discours lyrique, une capacité à la langue allusive, un regard traduit en mots d'envolées, et il franchissait l'entendement en s'adressant à l'Autre par-delà le sens propre, etr visait l'Inconscient. Touché ! Lacan comme Freud, mes deux grands frères, n'aimaient pas le confort moral, les habitudes de l'esprit, de l'apathie ; ils ont choisi et filialement j'ai choisi la même position, celle de l'inconfort. Et ils n'aimaient pas les institutions et les enfermements du corps et de l'esprit.
J'ai aimé après mes années de thérapeute à domicile puis de cabinet thérapeutique, ma création ; soutenue par mon expérience, adaptée à mes formations multiples, et pensée comme un Lieu Ouvert de Soins.
Sur les femmes, Lacan aura écrit et pensé toute sa vie et Jean Oury me parle de la femme, de Lacan, de la femme que je suis. C'est Jean le psychanalyste qui me regarde, qui s'est intéressé à moi, qui commente mes interventions sur la psy.... à l'ERTS d'Olivet, qui me prévient, qui me pose "Madame, vous n'êtes pas une schizophrène", qui se soucie de moi. C'est ce regard qui vient de Lacan qui passe comme un vol invisible de la pensée avec lui. Jean Oury me manque car c'est son espace psychique qui manque au monde, sa présence.
Cela aurait possible sans cet espace-temps perturbé venu d'un incident de vie, un signalement de maltraitance à enfants, j'aurai demandé à Jean Oury de m'instruire bien plus avant que je ne l'avais déjà été.
Lacan enseigne, il a le style médiéval. Il enseigne à propos de l'Amour à la façon des cours d'Eléonore d'Aquitaine. Lacan est un troubadour.
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chaque vécu, chaque histoire, chaque achoppement, chaque souffrance, chaque réalisation, chaque aveu, chaque plaisir, chaque doute, je les connais et je les entends soit par des murmures, soit par des colères, soit par des pleurs, soit par des inhibitions, soit par des violences dont celles faite à soi-même comme autant d'auto mutilations psychiques. Et ne m'échappe pas tout ce qui fais frein à se vivre où l'humain se torture lui-elle même sans pouvoir déjouer les pièges tendus par les obstacles de la vie.
j'accompagne aussi, donc, des chemins de personnes dont proche qui méandres en méandres, se cherche toujours et ne comprend pas que l'obstacle est là parce que il y a blocage de la pensée. C'est ainsi.
Il faut dans le Soin autant de sérieux que d'amusement, autant de réalisme que de suréalisme, autant de cadre que de liberté, et c'est très certainement donner à l'Autre cet espace-temps qui permet de cheminer plus aisément.
Le Lieu de Soins Ouvert reste fondamentalement une de mes réalisations, pensée, réfléchie, structurée, construite et donc appliquée. Je savais. Mais j'ai appris, à l'orée des psychismes de mes patient(e)s qui m'ouvrent leur intimité psychique comme j'ai appris leurs vies.
Mylène Unger
Thérapeute
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L'insolence
oui les psychanalystes opérant(e)s sont insolent(e)s et l'insolence est comme l'humour, une forme posée dans le langage parlé, de l'intelligence
Lacan était insolent
Oury était insolent
Je Suis insolente
dans une forme intelligente de distanciation avec le commun, une prise de recul sur le commun, et un parti-pris clinicien même et surtout aussi comme un mode de vie
L'insolence intelligente est aussi un symbole
celui de sa liberté de penser
Deleuze
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regardez-écoutez l'émission France Culture - 42 ans après sa mort, le psychanalyste Jacques Lacan fait toujours autant débat dans le milieu médical et intellectuel. Tantôt grand théoricien de l’inconscient, tantôt charlatan aux concepts obscurs selon certain(e)s, comment lire et interpréter aujourd’hui les écrits de cet héritier de Freud ? On en parle avec les psychanalystes Sophie Mendelsohn et Jacques-Alain Miller, également éditeur. #lacan #psychanalyse #freud-
l'imaginaire, le fantasme, la logique et la logique de l'imaginaire expliqués par Lacan
l'impossible, soit la confrontation au réel
interventions comme Oury plus tard, de Lacan à Sainte Anne
extrait "L'Inconscient est le discours de l'Autre, structuré comme un langage qui est lui-même structure. L'Inconscient n'est pas pas pulsation obscure du prétendu instinct"
le racisme ou la discrimination sont des fantasmes et une manière de jouir selon Lacan Jacques
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Thérapeute installée dont institutionnellement, je suis aussi l'accompagnatrice de chocs d'existence dont la sclérose en plaques de la compagne de mon ex-mari. Celui correspondant à des conseils très rapidement dont la préconisation ferme d'une consultation auprès d'un(e) neurologue sur Paris aux fins de soins ce qu'elle refuse les premières années de l'apparition de la maladie. Mon ex-mari m'informe d'une dégradation de la santé, de la mobilité, de la reconnaissance du chaud-froid, et là, je l'interpelle avec encore plus de fermeté, sur ce qui se passe dans la réalité. Elle est donc prise en charge. Mon accompagnement se fera sur des années, auprès d'elle en me rendant sur Paris à trois reprises et en allant vers la Pitié Salpétrière, et en donnant des avis sur l'importance d'aides à domicile ; travaillant avec une Infirmière d'Etat qui exerce en temps thérapeutique sur un Hôpital et suite à une sclérose en plaques déclarée, j'essaie avec elle de voir si nous pouvons l'aider. Mais la dégradation rapide due au refus de Laurence de soins classiques et d'une prise en charge tardive par le service neurologique ne nous a pas permis de l'aider en terme de médecine holistique. Mon accompagnement va se tourner de façon plus pointue vers mon ex-mari qui devient l'aide constant auprès de sa compagne, se met à refuser le travail salarié, et présente diverses formes de souffrance ; une dépression pointant le nez. C'est bien en tant que Thérapeute que je suis présente sur Nibelle pendant quelques années mais également par que nous avons un fils et représentons les parents, ensemble, auprès de lui et plus tard, de sa petite famille. Laurence étant décédée il y a peu, j'accompagne toujours, et là dans le deuil et la suite de la vie comme je suis là pour les mêmes raisons, soit notre lien en tant que parents et maintenant grands parents soit une obligation envers notre descendance commune. Présente sur Nibelle, je soutiens mon ex-mari qui a aussi une perte de revenus, soit à la retraite, et qui n'a plus la vie financière de couple qu'il a connu ; je lui trouve donc un petit boulot en 2022 pour complément financier. Lors d'une petite dépression de mon ex-mari qui tient à la dégradation de l'état de santé de sa compagne, il fait de l'hyper tension traitée par son médecin généraliste parisien ; je lui aie déconseillé de prendre par contre le médicament "repos" prescrit par celui-ci qui n'est pas adapté et qui ne correspond pas à un anti dépresseur mais bien à un médicament de psychiatrie. Mon ex-mari n'a jamais présenté ni ses ascendants de troubles. Il s'agit bien de dépression, fatigue générale, inquiétudes, liées à la perte au fil des années de sa compagne qui a un état très dégradé au cours des années. J'ai pris en charge également ma belle-fille en difficultés et l'ai conseillé sur le choix de suivre une psychothérapie, une situation qui n'est pas une exception et que toute femme peut rencontrer ; je me suis donc déplacée en Bourgogne où elle vit chez sa mère lors de mes déplacements professionnels de formatrice comme mes déplacements sur la Savoie pour formations de naturopathe. Le groupe p. rousseau et les groupes cités qui filent, et de territoires en territoires, (p. rousseau parlant des implantations sur un village, sur une ville, puis sur un département, puis sur une région), sont rapidement sur l'endroit géographique où elle vit. Et il y a un lien entre la Bourgogne et les Deux Sèvres, également. Le groupe p. rousseau et les groupes cités sont donc sur les 41 - 45 - 75 Paris 13ème (dont l'appartement de Laurence compagne de mon ex-mari, vie commune sur 20 ans) soit les filatures sur mes relations avec Marie Aude Joseph rue des Tudelles Orléans qui va recevoir Franck Wamburton très malade et me demande ce qu'il faut faire, sur la maison de Sologne de celui-ci et son réseau, sur la Pitié Salpétrière où je me rends en revenant du Salon du Livre de Bruxelles en 2020 mars. Les groupes cités par un homme habitant près de Fontenay le Comte soit le 85 me dit connaître ma venue sur Paris en mars 2020 et ma rencontre avec F. Wamburton hospitalisé dont le projet commun avec Mme Joseph, de lui apporter ses vêtements et son ordinateur portable qui sont restés chez elle. Ces groupes sont donc sur la Pitié Salpétrière à deux reprises et pour deux situations de santé que je suis, Laurence et Wamburton. Jean Marc Borello gérant salarié de SOS en voiture noire aux vitres teintées avec chauffeur est présent à l'entrée de la Clinique du Sport où mon fils est hospitalisé pour une double fracture ; le groupe p. rousseau et bikers sont dans la cour de la Clinique quand j'arrive pour voir mon fils. Il y a bien eu un incident avec l'anesthésie et par le biais d'une soignante pour l'arrivée d'oxygène, ce qu'il a très mal vécu "je n'avais plus d'air, je ne pouvais plus respirer". Coïncidence à mon avis nulle. En effet, p. rousseau appuie sur ma cage thoracique le jour où il pénètre chez moi et m'agresse sexuellement, et aux fins que je ne réponde pas quand quelqu'un frappe à la porte de mon appartement ; p. rousseau a essayé l'étouffement à plusieurs reprises. Par ailleurs, les intimidations "tu retires tes plaintes contre ton patron" reprises par Charvieux psychologue sur l'hôpital de Romorantin 41 "retirez vos plaintes contre SOS sinon vous allez avoir de graves ennuis" donc respectivement 2006 et 2008, ont été faites sur l'énonciation de possibles répressions physiques sur mon compagnon en formation psy, sur mon fils mineur puis majeur, sur moi-même ; puis en 2015 sur un bébé de la famille, 3 jours après sa naissance. Toute atteinte sur la cage thoracique, sur les voies respiratoires, sont du fait des intimidations de p. rousseau avant les passages à l'acte puis ensuite, pour réprimer par intimidations d'en parler. Toutes les difficultés relationnelles dès le mariage de mon fils et plus sûrement avec l'effraction de ma maison en avril 2028 sur le Lieu Thérapeutique arrivent, non de mon fait, par mon ex-mari qui confond le passé soit le divorce et la domination masculine que représente p. rousseau et en occultant les violences ; je gère donc mon ex-mari dans un espace qui se veut paisible quand je viens, dont des difficultés avec voisin(e)s dont l'un l'insulte, dont l'une me calomnie, et sa propre difficulté à passer outre le passé soit ma demande de divorce. L'état machiste, sexiste, et de perversion narcissique de p. rousseau récolte des fruits pourris auprès d'hommes et beaucoup en sont atteints ; là aussi et pour des motifs qui sont très personnels. Mon ex-mari et moi, sommes amis.
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